Sur son sombre chemin, l’humain foule du pied
les immuables mots consignés ci-après
qu’écrivent le sapin, le bambou, l’olivier,
que répète le cèdre aux rangées de cyprès,
qu’a tant pleurés le saule et que sucre l’érable :
« humain l’humanité la vertu la grandeur
se dicte et se conforte à l’ombre des splendeurs :
comment l’on se comporte envers les vulnérables. »
A.H.