L’œil en zéros se perd. Pour chaque incompétent
à l’ascension tracée dans l’or des spoliations
à venir et passées, faut-il donner autant
que tout un ministère aux frais de la Nation ?
Pour quelques réunions de bilingues du bois
spécialistes des sports de racket ou de glisse,
faut-il sucer encore à l’os avec délice
les tout-derniers deniers d’un pays aux abois ?
Il valait bien la peine habitants de Paris
d’avoir forcé si fiers les murs du Moyen-Âge
pour que la propagande abonde en cousinages
et puis que le sommet s’érige en coucheries.
A.H.