De l’insatiable main des plaisirs les moins beaux,
laisse les fous cueillir la saison des cerises.
Toi qui prétends me suivre où s’arrête la brise,
abdique les chemins de leur monde en lambeaux.
A.H.
De l’insatiable main des plaisirs les moins beaux,
laisse les fous cueillir la saison des cerises.
Toi qui prétends me suivre où s’arrête la brise,
abdique les chemins de leur monde en lambeaux.
A.H.