Ecrit-on mieux ses vers de colère, de joie
ou mû de l’énergie qu’on prête au désespoir ?
Du printemps à l’hiver nos plumes ont le choix ;
leurs larmes assagies complètent nos histoires.
A.H.
Ecrit-on mieux ses vers de colère, de joie
ou mû de l’énergie qu’on prête au désespoir ?
Du printemps à l’hiver nos plumes ont le choix ;
leurs larmes assagies complètent nos histoires.
A.H.