C’est en se promenant par hasard devant l’hôtel de Matignon qu’ Agatha Christie eut l’idée d’écrire son célèbre roman La Maison bisCornu. Vous trouverez ci-après une version Datilographiée de son premier manuscrit, écrit dans un bar devant la célèbre Baptiste.
Macron : ah bon, le peuple ne veut plus de moi ? Je n’en Lescure et Genevard rien changer, c’est pas Darmanin la veille que j’écouterai cette Farrandoule de miséreux. Je suis leur chef légal, et Nunez censé ignorer la loi. Mais Geffray mieux de ne pas mettre la Barrot, ma pensée est trop complexe pour eux. Tabarot leur expliquer, ils n’y comprennent rien à rien. Bah, tant que je leur donne de quoi gamBerger…
Nouveaux ministres, bien le bonjour ! Vu le contexte, à Brégeon un peu les Rist de bienvenue… Soyez fiers d’être des amateurs! Peu importe Vautrin compétence: entre le nid et le panier, vous êtes le Panidfous que j’ai affectueusement concocté pour les Français. Ah, que je les ai bien Gatel… Bon, à Brégeon* ce discours déjà assez long comme ça ; il en Ferrari certains et pleurer d’autres. Tenez d’ailleurs, un Moutchouard si vous faites partie de ces derniers.. Mais ne m’en gardez pas rancune aussi longtemps que la mule du Pape hein… (Jenbrunte cette réf aux Lettres de Montchalin ou un truc du genre)
Satisfaite de son premier jet, Agatha Christie jeta un dernier regard à Matignon par la fenêtre du Bar,but une dernière gorgée de sa tasse de thé, et demanda l’addition.
A.H.
*je l’ai mise deux fois parce qu’elle est à la mots deux Brégeon (non, c’était juste une erreur d’inattention, mais si un énième calembour peut venir la justifier a posteriori..)